La Controverse à Montréal
Comme une ville qui a une majorité
francophone et aussi une minorité anglophone qui est très forte, Montréal est
considéré un centre de la controverse qui a passé pendant les derniers
cinquante ans. Cette ville a vu beaucoup
de problèmes qui sont associés avec le Front de Libération du Québec, une
organisation terroriste, et avec la répression des Anglophones.
La controverse du Canada Français
commence avec la peur. Pendant la
première moitié du vingtième siècle, les Francophones canadiens se sont rendus
compte du fait que l’anglais était en train de devenir la seule langue au
Canada, et ça leur a donné la peur. Les
Canadiens francophones avaient envie de garder sa culture et sa langue, alors
après la formation du Parti Québécois pendant la deuxième moitié des années
soixante, la lutte pour la libération de cette province s’est imposée à
l’attention du monde. Le Parti Québécois
a dit sans prétention qu’ils avaient envie de « libérer le Québec »
des mains des autres provinces canadiens, tous qui sont anglophones. Dans le monde politique, le Québec a commencé
à lutter contre le Canada pour son indépendance.
Malheureusement, quelques Québécois
ne pensaient que la libération du Québec assez tôt. Alors, on a formé le Front de Libération du
Québec. Les premières actions de ce
groupe ont été une attaque contre un officier anglais et un premier
canadien. Le seconde a été tué par
l’organisation, qui a utilisé des bombes aussi pendant les années soixante-dix
pour terroriser les Canadiens y pour forcer l’indépendance du Québec.
Cette violence a entraîné la capture
de 500 des séparatistes québécois. Alors
le FLQ était au repos pour vingt ans. En
1995, un nouveau groupe terroriste, le Mouvement National de Libération
Québécoise a été fondé par un des fondateurs du FLQ, Raymond Villeneuve. L’objectif de ce nouveau groupe est utiliser
l’intimidation et la violence pour faire les Anglophones québécois partir de la
province, et puis le Québec serait plus près à l’indépendance.
Et partir, ils l’ont fait. Beaucoup d’Anglophones québécois sont partis
après le passage des lois profrançais pendant les années soixante-dix. Une loi québécoise interdit l’anglais dans
les signes publics. Un autre donne
préférence au français dans les écoles.
Avec la pression politique et les terroristes anti-Anglophones, beaucoup
de Québécois ont déménagé à Ottawa ou les autres provinces anglophones.
À cause de ce changement, Montréal
est devenu plus francophone, et aussi la ville a souffert des problèmes
économiques. Aujourd’hui, Toronto, une
ville anglophone, et plus fort que Montréal.
Il y a quatre-vingt ans, Montréal était la plus forte ville du Canada,
économiquement. Evidemment, le mouvement
séparatiste n’a pas aidé Montréal, mais c’est aussi une partie importante de
l’histoire et le présent de cette ville.